Yoga à Avensan

Yoga à Avensan

Toutes les semaines, séance de yoga dans la salle municipale du stade d’Avensan

Toutes les semaines, je vous propose une séance de yoga dans la salle municipale du stade d’Avensan, route du poteau.

La salle est grande et propre, lavée chaque matin, les chaussures se retirent à l’entrée et chacun vient avec son propre tapis. La salle est équipée du chauffage et de la climatisation, bref des conditions idéales de pratique.

Chaque semaine la séance est différente, spécialement préparée pour vous guider au fil de l’année vers une évolution douce de la pratique du yoga. Il y a bien sûr des postures, asana, mais également des exercices de respiration, pranayama, des gestes des mains, mudra.

La pratique du yoga que je propose est en adéquation avec la biomécanique du corps, je prends le temps d’expliquer les postures de façon détaillée à chaque séance pour un travail juste et profond dans le respect du corps.

Plusieurs degrés, « niveaux » de postures vous seront proposés pour que chaque personne puisse trouver celui qui lui convient, ce jour-là.

Les séances que je propose sont adaptées à tous, j’offre la séance d’essai avec plaisir aux personnes présentant un réel intérêt pour la découverte du yoga. Une inscription en cours d’année est tout à fait possible, même pour des non-initiés, puisque j’explique toujours les postures en détail.

La pratique régulière du yoga permet de prendre un temps pour soi, de s’offrir un moment de reconnexion avec le corps, avec vous-mêmes. Il permet de s’octroyer une pause dans la course incessante de la vie.

Je vous invite donc à la régularité dans le suivi des séances pour en ressentir les réels bienfaits qui se développent au fil de la pratique.

Avec une pratique régulière, la posture de corps est améliorée, les maux de dos s’apaisent, une respiration plus régulière et douce se développe, et vous récupérerez très certainement des exercices de respiration ou des postures qui vous auront particulièrement parlé pour les glisser dans votre vie personnelle, familiale et professionnelle.

Étant formée à la méthode De Gasquet, mes séances de yoga peuvent être adaptées aux femmes enceintes, il suffit de me le dire (et je sais garder les secrets) !

Voilà, je pense vous avoir tout dit, n’hésitez pas à m’écrire un SMS, un mail ou à me passer un coup de fil, je répondrai avec plaisir à vos questions. Mais le plus simple c’est encore de tester 😉

Namastisous.

Yoga à Avensan

Yoga Parent/Enfant Quésako ?

Yoga Parent/Enfant Quésako ?

On me demande souvent un peu inquiet : mais qu’est-ce qu’on fait dans un cours de yoga parent-enfant, parce que mon enfant ne restera pas assis une heure ?! C’est à partir de quel âge ? Il faut faire du yoga de façon régulière, non ?

Alors je vous rassure, il ne s’agit pas de rester assis pendant une heure, loin de là, nous allons bouger dans tous les sens et nous relaxer aussi, respirer mais aussi gigoter et bien rigoler, on va même faire du bruit (modérément) !

Je déroule la séance autour d’une histoire inventée ou réinventée, dans cette histoire nous sommes amenés à rencontrer des animaux et des végétaux et à les mimer à l’aide des postures de yoga. Parfois nous pourrons aussi en imiter les bruits « SSSSSSssssssss » fait le ssssserpent, et ça ça plait beaucoup aux enfants !

L’âge de l’enfant est une question qui revient à chaque fois. Comme chaque enfant est différent, je n’en donne pas, par choix. Il est nécessaire que l’enfant sache marcher, copier des gestes simples et aime écouter des histoires. A vous parent de voir si votre enfant peut venir, et d’accepter qu’un enfant de 20 mois ne copiera pas tout parfaitement, alors qu’il y a de forte chance qu’un enfant de 7 ans y arrive, mais ça n’a vraiment aucune importance, ce qui compte c’est le moment d’échange que vous partagez avec lui.

Je compte également sur les parents pour gérer leurs enfants, je suis là pour vous guider, animer la séance de yoga, et non faire la police, je ne suis pas la « dame » qui « va se fâcher » si l’enfant n’écoute pas.

Peut-on venir à deux adultes pour un enfant ? Ou seul avec plusieurs enfants ?

Non, ce n’est pas possible, pour plusieurs raisons. Non pas parce que je manque de compréhension, mais plutôt parce que j’ai de l’expérience et que pour que le moment soit qualitatif il est plus intéressant en duo. En effet, c’est un moment d’échange et de communion à deux, il suffira de venir à tour de rôle avec un parent, ou un enfant tout simplement, je pratique des prix doux en ce sens également. Il y a aussi une question de place, les espaces n’étant pas extensible je préfère que vous soyez à l’aise pour pratiquer plutôt que tout serré, car en yoga il n’y a pas de posture de la sardine ;p

Les cours de yoga Parent-Enfant sont accessible à tous, que vous soyez souple ou non, sportif ou non, stressé ou calme, c’est avant tout un moment d’échange ludique autour du yoga.

Alors n’hésitez plus ! Écrivez-moi 😉

Yoga & Wine Au Château Maucaillou à Moulis en Médoc

Yoga & Wine

Au Château Maucaillou à Moulis en Médoc

Les ateliers Yoga & Wine sont des moments privilégiés, des instants d’exploration du vignoble et de connexion sensorielle.

Tout d’abord les participants vont profiter d’une visite commentée.

Ensuite viendra la dégustation de vin, moment de découverte d’un vin choisi pour l’évènement. Elle permettra d’apprécier les qualités du vin par l’analyse visuelle, olfactive et gustative. Déguster, c’est observer et analyser la robe du vin, sentir et identifier les arômes, goûter et percevoir les différentes sensations en bouche, c’est un premier voyage sensoriel.

Enfin, viendra la pratique du yoga. Sur des tapis, dans un lieu adapté à la saisonnalité, le jardin du château en été, ou proche d’un bon feu de cheminée pour les temps plus frais, la découverte sensorielle peut se poursuivre. Les sens seront maintenus en éveil par une pratique faisant écho à la fois au vin choisi et à la saison : intériorité en automne, ralentissement en hiver, réveil énergétique au printemps et vitalité en été. Le lâcher-prise sera au rendez-vous en fin de séance lors d’une relaxation guidée aux sons des bols chantants, tambour de relaxation, koshis et cloches de médiation.

Les ateliers Yoga & Wine sont des rendez-vous rien que pour vous, pour vous connecter à vos sens, en apprendre un peu plus sur le vin et vous relaxer profondément. De plus, si vous désirez faire durer un peu la soirée vous pouvez réserver une table d’hôte au château pour poursuivre l’éveil du palais, et pourquoi pas prolonger le plaisir jusqu’au matin en réservant une chambre pour une délicieuse nuitée et un petit déjeuner gourmand.

Alors n’hésitez plus, réservez pour le prochain Yoga & Wine !

Télétravail et confinement : comment s’organiser pour ne pas craquer

Télétravail et confinement :
Comment s’organiser pour ne pas craquer

Celles et ceux qui ont l’habitude de suivre mes cours m’auront très certainement entendue dire qu’on ne fait pas un métier choisi par hasard.

Pourquoi suis-je professeur de yoga ?

J’ai toujours cherché à traverser le mouvement juste et bon pour le corps, à ressentir, à connecter.
Tout cela est vrai, mais plus j’avance, plus je me rends compte que cette vérité n’est que le sommet de l’iceberg.

Pourquoi suis-je réellement et profondément devenue professeur de Yoga ?

Si je suis honnête avec moi-même, c’est très certainement avant tout parce que je suis ce qu’on appelle une hypersensible, une grande stressée, une angoissée, une perfectionniste, une flippée de la vie, une fille qui « psychote », se fait des films catastrophes toute seule pour tout et pour rien ! Oui, oui, je suis comme ça. J’ai peur très souvent, trop souvent, presque tout le temps en fait, mais je suis aussi très travailleuse, courageuse, passionnée et surtout, j’aime les autres.J’aime les gens, tous ou presque, je vous aime, j’aime distribuer le bonheur, ou contribuer à en apporter un peu.
Bref, plus j’avance, plus je suis sûre du chemin que j’emprunte et vous savez quoi ? Moins j’ai peur et plus je suis confiante, car ce qui me porte c’est avant tout, aimer. Vous aimez, un peu égoïstement, je me repends, car j’ai besoin d’aimer l’autre pour m’aimer moi-même.

Si je vous dis tout ça, si je me livre, c’est pour vous rassurer : VOUS N’ETES PAS SEUL(E) !
Vous n’êtes pas seul(e) à être stressé(e), angoissé(e), perdu(e), parfois paniqué(e). Et le télétravail est loin d’être rassurant pour les grands angoissés.
Tout comme vous j’ai paniqué à l’idée de passer en télétravail :
« Comment faire des vidéos : je n’ai pas de caméra, de micro, je n’ai pas la place chez moi, j’ai mes enfants, mon chien, ça va être bruyant et je ne supporte pas de me voir à l’écran, ça va être horrible, je ne vais jamais y arriver !!!! Et puis je vais devoir annuler mes soirées méditation, mes matinées yoga, comment vais-je m’en sortir ?! »
Voilà quel a été mon premier discours intérieur.
Une fois la panique passée, les premières improvisations organisationnelles traversées, je me suis calmée etorganisée.

Je me suis fait un emploi du temps professio-familial avec des temps pour l’école à la maison, les jeux avec les enfants, la cuisine, le travail (préparation de cours, tournage vidéo, montage, rédaction de mails, partage…) et des temps de pause.
Au premier abord, ça peut paraitre compliqué, mais lorsqu’on est quelqu’un d’angoissé, un programme bien ficelé ça rassure. J’essaie de m’y tenir au mieux sans pression, de garder des moments « off » ou presque : lors d’une tétée silencieuse avec mon petit dernier par exemple, ou d’une activité cueillette ou loisir créatif avec ma grande. Pendant ces moments-là, je me recentre et je respire, je m’étire simplement, je baille.

Ce programme n’a pas été parfait dès le début, au départ il était trop exigeant, j’avais donc une sensation d’échec permanent, je l’ai donc revu et corrigé plusieurs fois jusqu’à ce qu’un bel équilibre entre obligation, désir, réussite, détente et satisfaction se mette à poindre.

Si vous vous sentez angoissé(e), stressé(e) et/ou débord(é), je vous conseille de tester la création de votre programme pouvant comporter par exemple :

• Heure de levée.
• Temps de petit-déj si vous en prenez un.
• Activité bien-être matinale pour se mettre en route (ex : quelques salutations au soleil, une médiation, ou lire un chapitre du livre de votre choix attention une lecture plaisir pas boulot ! ou juste un temps de rien.)
• Regarder son programme du jour attentivement et en redéfinir l’ordre si besoin.
• Temps de travail sur une plage horaire définie (travail terminé ou pas quand c’est l’heure on stoppe) et/ou école à la maison (pas plus de 2h d’affilé pour les adultes et grands enfants, 45 min pour les plus petits, à renouveler après la phase de pause de 5 à 15min)
• Pause où on bouge, on se lève, on marche, on s’étire, on respire, on peut même, en prévenant son entourage, crier un bon coup ou chanter à tue-tête si on en a besoin (moi je craque souvent bruyamment, je ne préviens plus, ici tout le monde le sait « ça y est c’est son quart d’heure ! » ça amuse tout le monde et ça met de bonne humeur !)
• Temps de travail/école
• Etc…
• Temps de repas (préparation + dégustation + pose tisane/café/détente/respiration + un petit plaisir silencieux pour s’encourager. Ici on mange un carré de chocolat)
• Temps de travail/école
• Pause
• Temps de travail/école
• Etc…
• Temps de repas
• Choisir une heure de coucher et s’y tenir, même avec un livre. ATTENTION PAS D’ECRAN surtout pour les insomniaques !

TRES IMPORTANT :Profiter de la soirée pour se détendre et organiser son programme du lendemain :

1. Profiter pleinement des enfants si on en a (on ne parle pas des devoirs, on ne parle pas des bêtises, on joue, on fait des câlins, on lit des histoires, on PRO-FITE !)
Et quand les petits sont couchés :
2. Faire sa« to do liste » du lendemain.
3. S’avancer (préparer la table du petit déj’, sortir les ingrédients, choisir les repas du lendemain et prédécouper les légumes et pré-peser les autres condiments pour gagner un temps précieux.)
4. Ranger sa maison (ramasser tout ce qui traine, faire un brin de ménage où c’est utile)
5. Aller au lit à l’heure avec une maison en ordre, un programme du lendemain établi et le plaisir du devoir accompli.

Bien sûr des centaines d’autres programmes/organisations sont possibles. Je vous donne la méthode que j’utilise, elle n’est pas parfaite, rien ne l’est, mais elle est top pour moi. J’espère que ça pourra vous donner une base pour que vous puissiez travailler chez vous avec moins d’angoisse et plus de plaisir.
Et n’oubliez pas, le plus important. Vous êtes capables de vous gérer vous-mêmes, vous êtes la/le meilleur(e) et je dirais même la seule personne à savoir vraiment quel fonctionnement sera le must pour vous. Faites-vous confiance !

Mon aventure couches lavables

Mon aventure couches lavables

Vous vous dîtes peut-être, mais pourquoi écrit-elle un article sur les couches lavables sur un blog de yoga !?!

Si j’ai choisi de rédiger cet article, c’est parce que je trouve que cette transmission d’informations et d’expérience est d’une très grande importance sociétale. En effet, sans vouloir m’improviser moralisatrice ou afficher un pessimisme déconcertant, vous n’êtes pas sans savoir que notre espèce humaine est à l’origine du plus grand des désastres écologiques. Une démarche permettant de réduire notre production de déchets me semble donc capitale et je sais que vous, pratiquants de yoga, êtes particulièrement sensiblesà cette problématique.

Il y a maintenant plus de dix ans naissait ma grande fille. Ma vie était loin d’être celle d’aujourd’hui. Je ne connaissais mon mari actuel et père de mes enfants que depuis quelques mois quand nous avons eu la surprise de découvrir que nous attendions un enfant. Nous étions tous deux étudiants en licence, lui en psychologie et moi en art. Nous faisions de petits boulots, moi en fastfood et grande distribution et lui en préparation de commande… Nous n’avons donc rien eu le temps, ni les moyens de préparer, nous avons improvisé et j’en ai de multiples souvenirs, émue, avec beaucoup de difficultés et de bonheur aussi. Puis nous avons grandi, cessé nos études, puis repris pour moi (plusieurs fois), enchainé les emplois multiples. C’était dur, mais on s’est accrochés. Puis la douceur s’est enfin installée, il y a quelques années quand j’ai pris mon courage à deux mains et que je me suis installée à mon compte. Mon mari était enfin en CDI depuis un moment, nous étions rassurés, j’ai donc cessé les contrats injustes (y compris dans le milieu du yoga !) pour me recentrer sur mon entreprise. C’est là, évidemment, que le projet d’un deuxième enfant a vu le jour et cette fois-ci nous avons eu la chance de pouvoir le penser.

Mon mari, Lucas, et moi-même avons donc parler couches-lavables ensemble et avons opté pour cette méthode pour plusieurs raisons :

1. Plus écologique. En effet, contrairement à ce qu’on entend bien trop souvent les couches lavables ne consomment pas plus d’eau que les jetables car la fabrication d’une seule couche jetable nécessite 120 m³ d’eau, alors qu’il en faut deux fois moins, soit 83m³, pour laver une couche lavable de la naissance à la propreté de l’enfant. Sans compter que pour produire les couches jetables il faut utiliser du plastique et donc du pétrole, ainsi qu’une cinquantaine de produits chimiques. NB : selon l’étude réalisée par LandbankConsultancy pour l’’association Women’sEnvironmental Network (WEN), les couches jetables, par rapport aux couches lavables consomment :3,5 foisplus d’énergie, 2,3 fois plus d’eau, 8,3 fois plus de matières premières non renouvelables, 90 fois plus de matières premières renouvelableset génèrent 60 fois plus de déchets solides.
2. Plus sain pour les fesses de bébé : je ne sais pas vous, mais depuis que je sais tout ça, je n’ai plus envie de mettre des couches jetables à mon bébé. Et sachez que les couches jetables vous disent souvent ce qu’elles n’ont pas mis comme produits chimiques dedans, mais omettent de vous dire ce qu’elles laissent à l’intérieur !
3. Plus économique : même en comptant le budget lessive la différence lavable/jetable va presque du simple au double. Pour les couches lavables, en fonction de votre achat (neuf ou occasion / choix de la marque et du système) vous en aurez pour une fourchette allant en moyenne de 300€ (parfois moins) à 800€ pour vos couches lavables, contre environ 1500€ de couches jetables de la naissance au 2 ans de votre loulou, donc si l’enfant est propre plus tard ça augmente encore mais que côté jetable.

Ce qui nous a fait hésiter :

1. L’entretien : on avait peur de ne pas réussir à gérer les lessives en plus de l’arrivée d’un bébé et vous savez quoi : eh bien ce n’est pas sorcier. Le conseil que je vous donnerais c’est de vous y mettre de suite pour ne plus vous laisser « séduire » par l’extrême facilité inégalable du jetable ; si vous prenez l’habitude c’est fichu, vous repousserez au lendemain et vous trouverez tout un tas d’excuses pour vous pardonner vous-mêmes. Mais ça reste très simple : on jette le caca dans les WC ou à la poubelle (nous on met un voile jetable biodégradable dans la couche parce qu’on est des précieux on n’aime pas se salir les doigts) et on vise le sceau à couche pour un stockage au sec ! C’est tout ! Ici tous les deux jours on fait une lessive spéciale couche et c’est reparti.
2. Les déplacements : finalement c’est pareil sauf qu’au lieu de mettre la couche sale dans une poubelle on jette le cadeau offert par bébé s’il y en a un et on plie la couche sale dans un sac à linge dans le sac à langer, c’est tout. C’est pareil qu’à la maison. Le seul vrai bémol c’est les vacances sans machine, là je dois avouer que c’est le seul moment où j’opte pour les jetables ; juste par flemme de laver à la main, je me repends.
3. Les critiques : ça par contre on en essuie, je ne vous dirais pas le contraire ! C’est aussi pour cela que je fais cet article, pour que vous ayez de suite du répondant. Si vous optez pour cette solution, car pour la consommation d’eau j’ai dû faire des recherches pour justifier mon choix suite à de nombreuses critiques. Et oui ! L’entourage n’est pas toujours bienveillant, comme nous tous d’ailleurs, personne n’est parfait.

Ce que nous aurions aimé savoir avant :

1. Il faut essayer sur son bébé avant d’acheter : il y a beaucoup de choix, de marques, de système de couches. Les couches à poches, les TE1, TE2, TE3 (signifiant tout en 1,2 ou 3), les couches classiques, les shortys/culottes en PUL ou polaire, les shortys/culottes en laine, les BEBELA, les langes classiques, les langes pré-pliés, preflods, les langes à nouer, les contours, les couches pré-plates et double-plates. Nous, par exemple, avions pensé prendre des TE2 car le système nous convenait théoriquement bien. Elles sont composées d’une partie imperméable en PUL (en gros la couche qu’on voit) dans laquelle on choisit de mettre des absorbants (langes ou inserts) Nous avons donc acheté des TE2 mais aussi des TE1 pour notre nounou (une fois assemblées, ça ressemble et s’utilise « presque » comme une couche jetable (le presque c’est parce qu’on la jette pas, hein !)) Finalement nous avons revendu les TE2 pour ne garder que les TE1 évolutives que nous avons adorées de suite. Faciles à utiliser, très efficaces et en plus très jolies ! Puis en cherchant la « super couche de nuit méga absorbante » je suis tombée sur les BEBELAS et celles-là je les trouve vraiment super aussi. Bébé peut pioncer 14h jamais ça ne débordera, honnêtement du jamais vu en jetable !
2. Ça fait un gros popotin et certains vêtements de conviennent pas : C’est pas dramatique, on s’y fait. Pas de pantalon ajusté, c’est tout, mais après tout à cet âge-là c’est le confort qui prime et on peut avoir de très beaux sarouels.

Les point positifs imprévus :

1. Beaucoup moins d’odeur : en fait une couche jetable ça sent, promis, ça pue, une lavable non.
2. Pas de rougeurs sur le popotin, pas d’irritation ! le top ! et pourtant mon fils a la peau fragile, avec une tendance à l’exéma.
3. Certaines couches sont trop belles.
4. Pas de débordements qui vont jusqu’en haut du dos, pas un seul en 11 mois en couche lavable, les seuls qu’on a eu c’était en jetable en vacances ! Des matins avec un bébé au sec dans sa couche, même après une énorme nuit !

Notre routine d’entretien des couches pour les intéressés :

– On monte la couche et on l’utilise (enfin bébé pas nous !)
– On la met sans le popo, mais avec le pipi en stockage au sec dans un sceau qui ferme. Le popo direction la poubelle ou les WC.
– Tous les deux jours en moyenne, on fait une machine que de couches en deux temps :
1) On « démonte » les couches, c’est-à-dire qu’on enlève les langes ou inserts de la poche centrale de nos TE1 et on déplie et sépare bien tout dans la machine. C’est vrai ce n’est pas le moment le plus fun on touche un peu le pipi.
2) Un rinçage de 45 ou 59 min à 30° avec ½ dose de lessives écolo et essorage à 1400T/M
3) Un lavage de 2h59 à 60° avec 1 dose de lessive écolo et du percarbonate, essorage à 1400T/M
4) On étend les couches
5) On les monte et on les range ! C’est tout !

Voilà je crois que je vous ai tout dit ! N’hésitez pas à fouillez sur facebook ; plein de groupes de couches lavables sont des mines de conseils. Je suis sur celui nommé Couches lavables entraide et bienveillance et c’est sur celui-ci que j’ai appris toutes ces informations. Oui ça peut faire « peur » car il y a pleins d’infos mais après vraiment ce n’est pas compliqué, même en travaillant ! Alors allez-y, foncez !!! Dites-vous qu’un seul bébé fait l’équivalant de toute sa chambre remplie du sol au plafond de couches à jeter, préférer le lavable ça fait de suite une très grosse différence.

Retour en images sur le stage de yoga du mois d’Août

Retour en images sur le stage de yoga du mois d’Août dernier

« Une parenthèse de Yoga, pour se reconnecter à Soi »

Une petite vidéo pour vous résumer le stage de yoga de cet été.

Parenthèse Yoga du Printemps

Pour tout savoir sur le programme du stage prévu du 12 au 14 avril 2019 à Lignan de Bazas

Stage de Yoga - été 2019

Pour tout savoir sur le programme du stage prévu du 21 au 25 août 2019 à Lignan de Bazas